cours n°20 radionique: La nature de l’homme

L’univers est appelé macrocosme (grand monde) et l’homme microcosme (petit monde). Pour autant, la pensée donne à l’infiniment petit un pouvoir sur l’infiniment grand.
Un des rôles premiers de l’être humain est d’embellir la terre, de travailler pour la collectivité afin d’aider la matière se sublimer, à se diviniser. Cette démarche constructive positive et fraternelle, contribue à transformer et harmoniser l’univers. Grâce à ses corps subtils, l’homme est en liaison avec le cosmos.  Chaque organe du corps physique, chaque plan des corps psychiques et spirituels sont reliés à la conscience universelle, force de lumière et d’inspiration, nécessaires à l’évolution. En vérité, il n’est possible d’approcher la vie dans sa plénitude qu’en harmonisant les différents plans de conscience.
Selon la loi d’affinité, l’homme peut capter les énergies de l’espace,notamment celles du soleil, qu’il a intérêt à souvent visiter. Si le corps physique, adapté à la seule vie terrestre, s’expose à être détruit et brûlé par le soleil, les autres corps peuvent s’en approcher sans risque, et même le traverser . Ils y puisent alors énergie, réconfort, lumière, beauté, sagesse, patience et persévérance. L’homme doit apprendre à utiliser cette source de vie intarissable pour enrichir non seulement sa nature supérieure, mais aussi sa nature inférieure. Il se recharge par ces énergies, favorables à la santé du corps et de l’esprit. Ces « communions » avec l’astre du jour, puissant émetteur radionique, permettent à l’âtre humain de prendre conscience:
– des formes d’énergie qui l’entourent et circulent constamment en lui,
– de l’importance des cellules qui le composent, de ses organes, de ses centres énergétiques capables d’absorber ou de distribuer à bon escient les énergies vitales, là où elles sont nécessaires, et de contrôler leur cheminement.
La nature connait nos affinités. La reconnaissance de ses lois est la promesse d’une santé inaltérable alliée à une faculté de visualisation ou de prémonition. Nier ces possibilités a pour conséquence de limiter nos perceptions et nos raisonnements, et de retarder notre évolution.