Devenir Guérisseur – Cours n°5 : le Notre Père et formules de guérisons spirituelles

abbe julio priere notre pere pater noster

Les prières n’ont de vertus réelles que lorsqu’elles sont dites avec foi et par le guérisseur, en même temps que la personne qui veut guérir.

Il s’établit alors un courant d’une puissance extrême qui opère à coup sûr l’effet demandé, car s’il y a du côté du malade défectuosité animique, le guérisseur le sait et le ressent ; et pour établir la force torrentielle de l’équilibre, il a recours aux prières occultes incommunicables, aux signes extérieurs possédant une vertu cachée, obtenue par le moyen de formules que l’église et les occultistes seuls connaissent.

Pendant ce temps la personne qui veut guérir ou être soulagée de quelque mal que ce soit, doit se tenir dans une grande pureté de corps et d’âme, mener une vie réglée, s’efforcer en demandant l’aide de Dieu, de rester impassible dans toutes les contradictions de la vie.

Ce sont là recommandations essentielles.

Avis pratiques (Abbé Julio : archevêque métropolitain de France)


Prières et bénédictions

> suite du Cours spirituel théorique n°4 : Comment prier

Il est indispensable d’avoir suivi chaque cours précédent avant d’en commencer un nouveau.


  1. Le Pater (version originale)

Version latin :

Pater noster, qui es in coelis ;
Sanctificetur nomentuum ;
Adveniat regnumtuum ;
Fiat voluntas tua ; sicut in coelo et in terra ;
Panem nostrum quotidianum de nobis hodie ;
Et dimitte nobis debita nostra ;
Sicut et nos dimittimus debitoribus nostris ;
Et ne nos inducas in tentationem ;
Sed libera nos a malo.
Amen !

Version Française :

Père de nous tous, qui remplissez les espaces ;
Que votre Nom soit à jamais béni ;
Que votre Règne s’établisse ici bas ;
Que votre Volonté se fasse sur notre Terre, comme déjà elle est accomplie dans les Célestes Mondes ;
Donnez-nous aujourd’hui notre nourriture super substantielle ;
Et remettez-nous ce que nous pouvons devoir ;
De même que nous faisons remise à tous nos débiteurs ;
Et ne nous mettez pas trop près de la tentation ;
Mais gardez-nous du mauvais.
Ainsi soit-il !


  1. Ma prière au Père des Cieux (paraphrase du Pater)


« Notre père qui êtes aux cieux »

Toutes les bouches ce matin vont s’ouvrir comme la mienne, celles qui gazouillent, celles qui mugissent, celles qui savent articuler votre nom si doux de Père.

Nous croyons en vous, Seigneur, parce que tout révèle votre puissance et votre bonté.
L’harmonie de l’Univers témoigne d’une sagesse, d’une prudence et d’une prévoyance qui surpassent toutes les facultés humaines.



« Que votre Nom soit sanctifié »

Le nom d’un Etre souverainement Grand et Sage est inscrit dans toutes les œuvres de la Création. Ce Nom trois fois bénit, nul ne le connait, mais tout le chante en haut comme en bas de l’Univers, chacun dans son langage, depuis le brin d’herbe de la prairie, le plus petit insecte, la fleur qui embaume, l’oiseau qui rase l’onde, le lion qui rugit, jusqu’aux astres qui se meuvent dans l’espace sans limites, jusqu’à ‘homme qui blasphème, parce qu’il met la main devant ses yeux.

Partout nous voyons la preuve d’une sollicitude paternelle : c’est pourquoi aveugle est celui qui ne vous reconnait dans vos œuvres, orgueilleux celui qui ne vous glorifie pas, ingrat celui qui ne vous rend pas des actions de grâces.



« Que votre Règne arrive
 »

Seigneur, vous avez donné aux hommes des lois pleines de sagesse et qui feraient leur bonheur, s’ils les observaient. Avec ces lois, ils feraient régner entre eux la paix et la justice ; ils s’entraideraient mutuellement, au lieu de se nuire comme ils le font ; le fort soutiendrait le faible au lieu de l’écraser ; ils éviteraient les maux qu’engendrent les abus et les excès de tout genre. Toutes les misères d’ici-bas viennent de la violation de vos lois, car il n’est pas une seule infraction qui n’ait ses conséquences fatales.

Vous avez donné à la brute l’instinct qui lui trace la limite du nécessaire, et elle s’y conforme machinalement ; mais à l’homme, outre cet instinct, vous avez donné l’intelligence et la raison ; vous lui avez aussi donné la liberté d’observer ou d’enfreindre celles de vos lois qui le concernent personnellement, ‘est à dire de choisir entre le bien et le mal, afin qu’il ait le mérite et la responsabilité de ses actions. Nul ne peut prétexter l’ignorance de vos lois : car dans votre prévoyance paternelle, vous avez voulu qu’elles fussent gravées dans la conscience de chacun, sans distinction de culte ni de nation. Ceux qui les violent, c’est qu’ils vous méconnaissent.

Un jour viendra où, selon votre promesse, tous les pratiqueront : alors l’Incrédulité aura disparu, tous vous reconnaîtront pour le Souverain Maître de toutes choses, et le règne de vos lois sera votre Règne sur la terre.

Quand donc, Seigneur, cette petite Étincelle de Divinité que je sens en moi, au centre de mon âme, pourra- t-elle percer ces épaisses murailles de ténèbres amoncelées, d’ignorances ataviques, pour redevenir cette lumière splendide qui est la Science, qui est le Beau, qui est la pure Jouissance, le Royaume annoncé depuis les anciens jours et qui sera nôtre, à la seule condition d’apporter sa petite pierre à l’achèvement de notre futur demeure ?



« Que votre volonté soit faite sur la terre comme au ciel ! »

Toute activité s’éveille : l’homme s’apprête, à la ville comme au champs, à exercer son empire sur la terre, sur le feu, sur le fer, sur tous les éléments domptés, sur toutes les volontés obéissantes :



« Que votre volonté s’accomplisse »

Elle aussi. La nuit a vu se poursuivre la marche éternellement régulière des étoiles. Le soleil s’est levé à l’heure que vous lui avez fixée de toute éternité ; le voyageur qui rentre le soir, le laboureur qui se lève au matin peuvent constater qu’aucun de ces astres n’a manqué jamais au rendez-vous que votre Puissance lui a donné dans les immensités du firmament : qu’il en soit ainsi sur la terre comme au ciel.

En effet si la soumission est un devoir du fils à l’égard du père, de l’inférieur envers son supérieur, combien ne doit pas être plus grande celle de la Créature à l’égard de son Créateur ! Faire votre volonté, Seigneur, c’est observer vos lois et s’y soumettre sans murmure : l’homme s’y soumettra quand enfin il comprendra que vous êtes la source de toute sagesse et que sans il ne peut rien. Alors votre Volonté sera sur la terre accomplie, comme les élus l’accomplissent dans le ciel.



« Donnez-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour
 »

C’est-à-dire la nourriture pour les forces corporelles, la nourriture spirituelle pour le développement de notre esprit.
Et puisque l’oiseau trouve dés l’aurore  le vermisseau ou le grain qui le nourrit, puisque la pâquerette boit dés l’aube sa première goutte de rosée, à nous qui sommes vos enfants bien aimés vous donnerez la nourriture.

Mais c’est à son activité, aux ressources de son intelligence que l’homme devra sa nourriture, car vous l’avez crée libre et vous lui avez dit aux premiers jours : Tu tireras ta nourriture de la terre à la sueur de ton front. Par là, vous lui avez fait  une obligation du travail, afin qu’il exerçât son intelligence par la recherche des moyens de pouvoir à ses besoins et à son bien-être, les uns par le travail matériel, les autres par le travail intellectuel.

Sans le travail, l’homme resterait stationnaire et ne pourrait aspirer à la félicité des Esprits Supérieurs. Vous secondez l’homme de bonne volonté qui se confie à vous pour le nécessaire, mais non celui qui se complet dans l’oisiveté et voudrait tout obtenir sans peine, ni celui qui cherche le superflu. Combien en est-il qui succombent par leur propre faute, par leur incurie, par leur imprévoyance, ou par leur ambition, et pour ne pas avoir voulu se contenter de ce que vous lui aviz donné ! ceux là sont les artisans de leur propre infortune, et n’ont pas le droit de se plaindre, car ils sont punis par où ils ont péché. Mais ceux-là mêmes, vous ne les abandonnez pas, parce que vous êtes infiniment miséricordieux : vous leur tendez une main secourable, dés que, comme l’enfant prodigue, ils reviennent sincèrement à vous.

Avant de nous plaindre de notre sort, demandons-nous s’il n’est pas notre ouvrage ; à chaque malheur qui nous arrive, demandons-nous s’il n’eût pas dépendu de nous de l’éviter ; mais disons-nous aussi que Dieu nous a donné l’intelligence pour nous tirer du bourbier et qu’il dépend de nous d’en faire usage.

Puisque la loi du travail est la condition de l’homme, donnez-vous le courage et la force de l’accomplir, donnez-vous aussi la prudence, la prévoyance et la modération, afin de n’en perdre le fruit.

Donnez-nous donc, Seigneur, notre pain de chaque jour, c’est-à-dire les moyens d’acquérir, par le travail, les choses nécessaires à la vie, car nul n’a droit de réclamer le superflu.

Si le travail nous est impossible, nous nous confions en votre divine Providence.

S’il entre dans vos desseins de nous éprouver par les plus dures privations, malgré nos efforts, nous les acceptons comme une juste expiation des fautes que nous avons pu commettre dans cette vie ou dans une vie précédente, car vous êtes juste ; nous savons qu’il n’y a point de peines imméritées, et que vous ne châtiez jamais sans cause.

Préservez-nous, ô mon Dieu, de concevoir de l’envie contre ceux qui possèdent ce que nous n’avons pas, et même contre ceux qui ont le superflu, alors que nus manquons du nécessaire. Pardonnez-leur s’ils oublient la loi de charité et d’amour du prochain, que vous leur avez enseignée.

Écartez aussi de notre esprit la pensée de nier votre justice, en voyant la prospérité du méchant et le malheur qui accable parfois l’homme de bien. Nous savons maintenant, grâce aux nouvelles lumières qu’il vous a plu de nous donner, que votre justice reçoit toujours son accomplissement et ne fait défaut à personne ; que la prospérité matérielle du méchant est éphémère comme son existence corporelle, et qu’elle aura de terribles retours, tandis que la joie réservée à celui qui souffre avec résignation sera éternelle.



« Remettez-nous nos dettes comme nous les remettons à ceux qui nous doivent. Pardonnez-nous nos offenses, comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés
. »

Chacune de nos infractions à vos lois, Seigneur, est une offense envers vous, et une dette contractée qu’il nous faudra tôt ou tard acquitter. Nous en sollicitons la remise de votre infinie miséricorde, sous la promesse de faire nos efforts pour n’en pas contracter de nouvelles.

Vous nous avez fait une loi expresse de la charité ; mais la charité ne consiste pas seulement à assister son semblable dans le besoin ; elle est aussi dans l’oubli et le pardon des offenses. De quel droit réclamerions-nous votre indulgence, si nous en manquons nous-mêmes à l’égard de ceux dont nous avons à nous plaindre ?

Donnez-nous, ô mon Dieu, la force d’étouffer dans notre âme tout ressentiment, toute haine et toute rancune ; faites que la mort ne nous surprenne pas avec un désir de vengeance dans le cœur. S’il vous plait de nous retirer aujourd’hui même d’ici bas, faites que nous puissions nous présenter à vous, purs de toute animosité à l’exemple du Christ, dont les dernières paroles furent pour ses bourreaux.

Les persécutions que nous font endurer les méchants font parties de nos épreuves terrestres ; nous devons les accepter sans murmure comme toutes les autres épreuves, et ne pas maudire ceux qui , par leurs méchancetés, nous facilitent le chemin du bonheur éternel, car vous nous avez dit par la bouche de Jésus : « Bienheureux ceux qui souffrent pour la justice ! »

Bénissons donc la main qui nous frappe et nous humilie, car les meurtrissures du corps fortifient notre âme, et nous serons relevés de notre humilité.

Béni soit votre nom, Seigneur, de nous avoir appris que notre sort n’est point irrévocablement fixé après la mort ; que nous trouverons dans d’autres existences les moyens de racheter et de réparer nos fautes passées, d’accomplir dans une nouvelle vie ce que nous ne pouvons faire en celle-ci pour notre avancement.

Par là s’expliquent enfin toutes les anomalies apparentes de la vie ; c’est la lumière jetée sur notre passé et notre avenir, le signe éclatant de votre souveraine justice et de votre bonté infinie.



« Ne nous laissez pas succomber  la tentation
 »

Nous sommes de petits enfants, marchant d’un pas bien incertain dans ces rudes sentiers qui blessent nos pieds tendres ; comme le papillon léger nus voletons vers les fausses lumières, grésillant nos pauvres ailes. Vous nous aimez plus que tous, les mères, prenez-nous par la ceinture pour guider nos pas chancelants et nous écarter loin des précipices.

Donnez-nous, Seigneur, la force de résister aux suggestions des mauvais Esprits qui tenteraient de nous détourner de la voie du bien en nous inspirant de mauvaises pensées.

Mais nous sommes nous-mêmes des Esprits imparfaits, incarnés sur cette terre pour expier et nous améliorer. La cause première du mal est en nous, et les mauvais Esprits ne font que profiter de nos penchants vicieux, dans lesquels ils nous entretiennent, pour nous tenter.

Chaque imperfection est une porte ouverte à leur influence, tandis qu’ils sont impuissants et renoncent à toute tentative contre les êtres parfaits. Tout ce que nous pourrions faire pour les écarter est inutile, si nous ne leur opposons pas une volonté inébranlable dans le bien, et un renoncement absolu du mal. C’est donc contre nous-mêmes qu’il faut diriger nos efforts et alors les mauvais Esprits s’éloigneront naturellement, car c’est le mal qui les attire, tandis que le bien les repousse.

Seigneur, soutenez-nous dans notre faiblesse : inspirez-nous, par la voix de nos anges gardiens et des bons Esprits, la volonté de nous corriger de nos imperfections, afin de fermer aux Esprits impurs l’accès de notre âme.



« Mais délivrez-nous du mal
 »

Le mal c’est l’ombre, c’est le noir, c’est la nuit ; myopes que nous sommes, nous distinguons à peine le bien, et le noir nous enveloppe. Étincelle Divine, effacez les ombres, chassez le noir de nos âmes, éclairez la nuit des splendeurs de votre Éternelle Justice.

Le mal n’est point votre ouvrage, Seigneur, car la source de tout bien ne peut rien engendrer de mauvais ; c’est  nous-mêmes qui le créons en enfreignant vos lois, et par le mauvais usage que nous faisons de la liberté que vous nous avez donnée. Quand les hommes observeront vos lois, le mal disparaîtra de la terre, comme il a déjà disparu dans les mondes plus avancés.

Le mal n’est une nécessité pour personne, et il ne parait irrésistible qu’à ceux qui s’y abandonnent avec complaisance. Si nous avons la volonté de le faire, nous pouvons avoir aussi celle de faire le bien ; c’est pourquoi, ô mon Dieu, nous demandons votre assistance te celle des bons Esprits pour résister à la tentation.


« Ainsi soit-il ! »

Plaise à vous, Seigneur, que nos désirs s’accomplissent ! Mais nous nous inclinons devant votre sagesse infinie. Sur toutes les choses qui ne nous est pas donné de comprendre, qu’il soit fait selon votre sainte volonté, et non selon la nôtre, car vous ne voulez que notre bien, et vous savez mieux que nous ce qui nous est utile.

Nous vous adressons cette prière, ô mon Dieu ! Pour nous-mêmes ; Nous vous l’adressons aussi pour toutes les âmes souffrantes incarnées ou désincarnées, pour nos amis et nos ennemis, pour tous ceux qui réclament notre assistance, et en particulier pour … (spécifiez votre demande pour vous et pour ceux que vous aimez).


« Qu’il en soit ainsi »

Et faites que nous arrivions au soir de ce jour beau ou triste, ainsi qu’au soir de notre vie, sans naufrage pour notre âme, sans catastrophe pour notre corps.

Ce Pater et cette paraphrase si belle et si poétique peuvent être dites comme prière du matin, quand on en a le temps ; mais si à cause de vos occupations ou du milieu où vous vivez, vous n’en avez ni le temps, ni la facilité, n’en tourmentez pas votre âme : contentez-vous d’un signe de croix ou même tout simplement d’un seul élan de votre cœur vers Dieu. Faire ce qu’on doit est le premier de tous les devoirs, et une bonne action est la meilleure des prières.


Formules de guérison spirituelle :

Prières pour les maladies :

ABCÈS : grosseur constituée de pus provenant d’une infection.

 

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

Invocation à Saint CLOUD :

† Assistez-nous, Seigneur, par les mérites de Saint Cloud, afin que nous obtenions par son intercession la grâce de notre guérison ; que nous puissions Vous bénir et Vous aimer, ô mon Dieu, en la compagnie de Vos Anges et de Vos Saints.
Nous vous en prions par Notre Seigneur-le-Christ ; qu’il en soit ainsi !
Saint Cloud, vous qui rendez la santé aux malades d’abcès et qui êtes le secours des pauvres, priez pour nous, secourez-nous, guérissez-nous de cette pestilence*, s’il plait à Dieu !
Nous vous en prions :
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !

*cette orthographe de pestilence vient du vieux français signifiant « peste ».

Autre :

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

Je t’ordonne de mûrir,
D’éclater, de sécher,
De guérir, afin que x… (nommer la personne)
Ne souffre plus dans son corps par ta faute !
Par ma bouche Dieu l’ordonne :
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !
Va, x…(nommer la personne) pars maintenant,
Dieu t’a guéri(e), remercie-le !
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !

Autre :

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

† Jésus, qui avez guéri le lépreux,
Délivrez x… (nommer la personne) du mal qui l’afflige, de toute infection, et faites que toutes ses plaies soient fermées à jamais, s’il plait à Dieu !
Nous vous en prions :
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !

Dire 3 fois en disant 3 « Notre Père » et 3 « Je vous salue Marie » entre chaque.

Autre populaire :

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

† Touche à pus,
† Je te croise et te contre-croise
† Je te panse*,
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !

Dire 3 « Notre Père » et 3 « Je vous salue Marie » entre chaque.

*du verbe panser : faire un pansement. 

Autre :

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

Par Saint Eudoce, † Mal crève,
Par Saint Eudoce, † Mal perce,
Par Saint Eudoce, † Mal guéris !
Par ma bouche Dieu l’ordonne :
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !


Abcès aux oreilles

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

Par Saint Aspace † Mal crève,
Par Saint Aspace † Mal perce,
Par Saint Aspace † Mal guéris !
Par ma bouche Dieu l’ordonne :
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !

+ Prière à Sainte Apolline pour les oreilles.


 Abcès aux dents

Prière d’ouverture n°1 + prière d’ouverture n°2 + :

Par Saint Vite † Mal crève,
Par Saint Vite † Mal perce,
Par Saint Vite † Mal guéris !
Par ma bouche Dieu l’ordonne :
† Au Nom du Père Créateur,
† Au Nom du Christ,
†Au nom de l’Esprit Saint,
† Au Nom de la Divine Mère,
Qu’il en soit ainsi !

+ Prière à Sainte Apolline pour les dents.


>>> Devenir Guérisseur – Cours n°6 : médailles protectrices et formules